Traité contre le vampirisme.
Publié : 06 juil. 2022, 12:05
Comme convenu, j'ai été à la rencontre du Prêtre Ingurt concernant le sujet des vampires, notamment sur le fait de comment s'y défendre. J'ai de suite remarqué l'effroi que provoquait mon questionnement et celui-ci m'invita à le suivre loin des oreilles délicates des fidèles. Mais avant de présenter quelconques manières de s'en défendre, il est nécessaire d'évoquer ce qu'est précisément le fléau du vampirisme.
Père Ingurt n'a pas pu me dire l'origine de ce fléau ni d'où il vient mais il me confia que le vampirisme était perçu comme une maladie, une maladie pernicieuse qui dévore la volonté de sa victime et lui provoque une profonde soif de sang. Ainsi l'homme s'éteint lentement pour faire place à la bête. Heureusement la maladie ne se contracte pas d'une simple griffure mais par une véritable morsure. Ainsi il faut éviter à tout prix d'être mordu par le vampire. Les vampires semblent plus forts la nuit et font preuve de capacités hors normes sous l'égide de l'obscurité.
Il existerait deux formes de vampires: ceux qui ont gardé leur raison, les vampires et Maitres vampires et ceux qui ont complètement cedé à la folie, les sangrebêtes. Le Prêtre Ingurt a également précisé qu'il est tout à fait possible qu'un vampire finisse par devenir une sangrebête et que cela pourrait tout à fait correspondre au dernier stade de la maladie. En somme un vampire ne "né" pas forcément Sangrebête mais peut le devenir après de nombreuses années sans que les causes ne lui soit connu.
Nous avons alors longuement discuté d'un moyen de se protéger, malheureusement le Père Ingurt n'a pour ainsi dire jamais trouvé de véritable protection. Ces créatures sont fortes, trop puissantes pour être sensibles à quelques charmes et protections. Néanmoins, elles semblent craindre la magie sacrée dont usent une caste de prêtre guerrier particulière, les Vigies de Stendarr, une version occidentale de notre Dieu Stuhn. j'en parlerai à Sirilonwë, peut-être en saura t'elle plus.
Père Ingurt n'a pas pu me dire l'origine de ce fléau ni d'où il vient mais il me confia que le vampirisme était perçu comme une maladie, une maladie pernicieuse qui dévore la volonté de sa victime et lui provoque une profonde soif de sang. Ainsi l'homme s'éteint lentement pour faire place à la bête. Heureusement la maladie ne se contracte pas d'une simple griffure mais par une véritable morsure. Ainsi il faut éviter à tout prix d'être mordu par le vampire. Les vampires semblent plus forts la nuit et font preuve de capacités hors normes sous l'égide de l'obscurité.
Il existerait deux formes de vampires: ceux qui ont gardé leur raison, les vampires et Maitres vampires et ceux qui ont complètement cedé à la folie, les sangrebêtes. Le Prêtre Ingurt a également précisé qu'il est tout à fait possible qu'un vampire finisse par devenir une sangrebête et que cela pourrait tout à fait correspondre au dernier stade de la maladie. En somme un vampire ne "né" pas forcément Sangrebête mais peut le devenir après de nombreuses années sans que les causes ne lui soit connu.
Nous avons alors longuement discuté d'un moyen de se protéger, malheureusement le Père Ingurt n'a pour ainsi dire jamais trouvé de véritable protection. Ces créatures sont fortes, trop puissantes pour être sensibles à quelques charmes et protections. Néanmoins, elles semblent craindre la magie sacrée dont usent une caste de prêtre guerrier particulière, les Vigies de Stendarr, une version occidentale de notre Dieu Stuhn. j'en parlerai à Sirilonwë, peut-être en saura t'elle plus.