[Etude]Une plante prénommée Némie

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Oliane
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Rapport : Premières observations et expérimentations sur l'étrange minéral prénommé (par nos soins) Némie.


Date : Le 2 du mois de la sixième lune astrale.

Intervenants : Iverault Chatelfort et moi même (Oliane Elaret).

Lieu : Laboratoire gracieusement prêté par le Laboratorium.


Informations et description de la pierre :

- Elle a été trouvé sur le sol, non loin d'une créature défunte , dans le Thanalan occidental région de Martelterre, non loin du hameau nommé le Bazar Argenté.

- La pierre est dense, dure et massive, finement grenue, de teinte vert-noirâtre, brunâtre par altération. On constate des fines marbrures vertes la striant sur le dessus. Après une observation à la loupe et au microscope il s'avère que ces fines rainures sont en fait des bourgeons et qu'ils ont tendance à absorber la luminosité ainsi que l'Ether.

Expérimentations :

- Exposition à une faible source lumière et d'Ether, pour ce fait nous avons employé des cristaux d'éther peu puissant qui se trouvaient dans le laboratoire.
- La luminosité des cristaux a fluctué le temps du rapprochement. On a pu constater une légère croissance des bourgeons. Croissance qui s'interrompt dès l'éloignement de la pierre.

- Étude d'une réaction envers une atteinte à l'intégrité physique de la plante, ou du moins du minéral sur lequel elle prolifère. A l'aide d'un petit maillet nous avons briser un minuscule bout de la pierre.
- A part l'effritement du minerai aucune réaction notable, sauf peut-être une brève agitation du végétal, mais cette réaction peut être consécutive au choc. Rien de concluant.

- Exposition à la chaleur d'une flamme. A l'aide de la magie Iverault a créé une flammèche près de laquelle nous avons approché la pierre.
- Les bourgeons ont de prime abord réagi comme lorsqu'ils furent exposé à la lumière éthérique, tendant leurs minces tiges vers la source. Néanmoins dès que la chaleur a augmenté, les boutures commencèrent à s'agiter en tout sens.

Conclusion :

La plante réagit à la lumière et/ou à l'Ether. Pour le moment nous ne savons si c'est l'union des deux où juste un élément. A l'heure actuel nous la maintenant dans un espace confiné sans luminosité. 
- Il nous faudra trouver un conteneur totalement hermétique à l'Ether pouvant permettre une isolation totale. (Demander à l'équipe du Laboratorium s'ils possèdent un tel objet).

Le feu semble lui procurer une certaine gêne. Pour le moment nous n'avons pas désiré pousser plus avant de crainte de la détruire sans avoir pu comprendre ce qu'elle est.


Prochaines étapes :

Iverault retourne dans le Thanalan afin de faire des prélèvements et une étude plus approfondie de la zone dans laquelle il a découvert cet artefact.
Pour ma part , je vais me rendre en terre des Sylves, où de nombreuses plantes possèdent des particularités et des affinités à l'Ether pour voir si certains éléments peuvent nous aiguiller dans la compréhension de ce qu'est cette chose.

En laboratoire : Étude de ses réactions lorsqu'elle est exposée au froid.
Iverlaut
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Sur quelques feuilles épars sont explicités plusieurs théories:
Rapport II.

Nous avons repris l'étude de Némie lors de notre retour du Thanalan. Suite aux différents prélêvements de Lyssa et Oliane, nous avons decouvert des traces de mercure, situées aux racines et des traces de plomb situées au niveau du bulbe. Le questionnement d'une telle rpésence s'ets posé et nous n'avons à l'heure actuelle aucune réponse formelle à apporter.
Néanmoins lors de la précédente étude, nous avons effectué quelques manoeuvres, tel que, des prélèvements, mais aussi un traitement des imperfections.

C'est à dire. Abstraction du mercure par purification, puis abstraction du plomb toujours par purification. L'agent purificateur a été mise au point par Oliane au Laboratorium.
Lors de la purification d'une des souches de Némie sur:

Le mercure située aux racines, nous avons observé un flêtrissement de la souche jusqu'à ce que mort s'en suive.

Lors de la purification des résidus de plomb situés sur le bulbe, nous avons observés que la plante restait bel et bien vivante mais qu'elle ne réagissait plus à l'ether et à la lumière.

Hypothèse 1: présence de plomb et de mercure dans la créature. L'hypothèse première consiste à affirmer que la créature empoisonne ainsi ces victimes au plomb et au mercure, afin d'en prendre possession, de croître et de s'extraire du corps de l'hote.

Hypothèse 2: la présence de plomb et de mercure est du à un empoisonnement antérieur à la gestation des plantes qui auraient du coup absorbé le plomb et le mercure. Hypothèse peu probable car Némie elle contient aussi des traces de ces deux substances et n'a pourtant été en contact avec aucun corps biologique.

Hypothèse 3: les résidus résultent de pratiques alchimiques pour un but qui nous est alors inconnu.

De ces trois hypothèses, je dirais que la première me semble la plus probable, bien qu'une manipulation alchimique ne soit pas à exclure.
Néanmoins des questionnements demeurent. Quel est la nature de Némie? Est-elle un végétal ayant subie une mutation? Est-elle une création alchimique de toute pièce, ou bien répond t'elle à un processus de mutation environnementale? Autant de questions qui demeurent sans réponses à l'heure actuelle.
Oliane
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Rapport III: dernières avancées sur l'enquête concernant Némie.

Résume de l'expédition dans le Thanalan occidental.


Intervenants : Lyssa Dei-ijla, Qata'ra Awandah, Iverault Chatelfort, Oliane Elaret.

Date : le 8 du moins de la sixième Lune astrale.


Dame Lyssa à l'aide de son étherimètre nous a permis de découvrir deux sources quant à la provenance des émanations d'éther perçues par Iverault.

- A la première source, nous découvrîmes un crapaud géant ayant été contaminé par l'une de ces plantes. D'un caractère naturellement placide, ces batraciens ne sont que rarement belliqueux, il semble donc que le parasite végétale modifie le comportement de son hôte. Nous fumes hélas obligé d'exterminer l'animal, nous avons pris la décision de brûler les rester afin d'éviter toutes propagations.

- A la seconde source, l'expérience s'avéra plus macabre encore, au fond d'une grotte nous trouvâmes deux corps. Tous deux infestés par des végétaux, nous dûmes détruire les plants avant de pouvoir procéder à l'inspection des corps. Il s'agissait de deux occultistes dont les lèvres furent cousues ante-mortem.

=> Nous avons prélevé plusieurs échantillons sur les défunts aussi bien que dans les environs, avant de repartir vers Uld'ah. Notre prochaine tâche sera de prendre contact avec la guilde des occultistes.



Résumé de l'entrevue avec l'un des membres de la guilde des occultistes.


Intervenants : Iverault Chatelfort, Oliane Elaret.

Date : Le 13 du mois de la sixième lune astrale.


Nous fûmes introduit auprès de l'un des membres de la guilde, il nous expliqua qu'il y avait trois apprentis portés disparus :
- Mark, un Hyurois, de corpulence fluette et au physique des plus passe-partout.
- Holley, Hyurois aussi, sans réel don pour l'occultiste mais ayant pour père un riche marchand influent de la cité.
- Beranger, un Elézen sylvestre, grand et mince.

Ils faisaient des recherches sur l'antique civilisation Belah'dienne et devaient rencontrer, au camp des Os desséchés, un professeur Klaus Vandenberg, ayant une certaine notoriété dans le domaine des civilisations anciennes.

=> Les corps trouvés étaient ceux d'hyurs, l'Elézen manque à l'appel. Il nous a été demandé de ne point divulguer les causes de la mort des deux apprentis, en fait nous devons éviter de laisser ébruiter le fait. Ils doivent rester à l'état de "disparus" et non prendre celui de "trépassés".

Après un passage au Laboratorium afin d'exécuter les différentes analyses des échantillons récoltés, et aussi de faire un point sur nos découvertes respectives, nous partirons pour le camp des Os desséchés afin de remonter la piste suivie par les étudiants.
Iverlaut
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Rapport IV: Etude alchimique de Némie. (A compléter.)

Resumé de l'expedition au Havre des Renouées.


Intervenants: Moi-même Iverault Chatelfort et Este.

Le 29 du mois de la sixième lune astrale.


Après de récentes études, et afin de vérifier la probable hypothèse alchimique de la nature des germes, il m'est nécessaire d'expliciter mes récentes découvertes.

Il était clair que la présence de mercure et de plomb dans la composition biologique de Némie était tout sauf naturelle. Néanmoins, la question du pourquoi restait en suspens. Après nombres études et observations, j'ai pu remarqué qu'en présence d'éther et alors que la souche s'abreuvait de lumière, les composés réagissaient proportionnellement à la quantité d'éther absorbé.

Ainsi j'eus l'idée d'une expérience quelque-peu dangereuse mais qui permettrait peut être de nous indiquer si il y avait du vrai dans nos hypothèses..

-Nous nous rendimes avec Este au havre des Renouées afin d'abreuver une des souches de Némie, loin du Labo afin d'éviter tout danger. Nous avons pu observé une mutation progressive et exponentielle au fur et à mesure que la souche se nourrissait, tandis que Némie paraissait attirer les créatures environnantes. Peut être ressentaient elles un danger.

-Malheureusement, alors que la pousse continuait sa mutation sous de hautes doses d'éther, elle est vite devenue incontrôlable. Nous avons alors du faire ce qu'il faut afin d'éviter tout danger pour la région, c'est à dire la vider de son éther, et vérifier si le processus inverse de mutation était possible.

-Nous avons alors fait deux découvertes:


Tout d'abord en ponctionnant la créature de son éther, celle-ci regresse et reprend à terme sa forme initiale.

Ensuite, au terme de sa mutation Este à découvert que le corps de la bête se couvre alors de glyphes mystérieux.


-Concernant la présence des glyphes:

Je joins, l'esquisse d'Este afin de présenter un modèle de ces glyphes. N'étant point alchimiste, je peux néanmoins en déduire qu'ils sont le résultat sûrement d'un procédé ayant rapport avec les résidus de Mercure et de plomb, du moins c'est là ma dernière hypothèse. 
Je compte mettre à profit les talents alchimiques d'Oliane en la matière et lui montrer les glyphes en question dans le but d'en délier ces mystères. Nulle doute qu'elle pourra peut être même m'en signifier le sens et le rôle.
Oliane
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Oliane
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Rapport V : Étude du glyphe découvert précédemment.


Descriptif de la structure :


Une rune placée hors du motif principal, ensuite un grand cercle qui englobe un carré, dans lequel se trouve un autre cercle qui s'enroule sur un triangle équilatéral, dont les deux segments se faisant face sont couverts de trois runes chacun, les sommets sont annotés de la lettre « a » : Un sur le sommet du haut, deux sur celui à gauche, trois sur le droit. Enfin un dernier cercle entrelacé avec le triangle, dont le centre est celui du motif en général, il est marqué par quatre « a » ainsi que d'une croix lié au sommet par un trait.


Les runes :

- La rune extérieure :
Image Hagalaz : la puissance des chiffres, incarne le nombre sacré. Aussi bien source de changement positif que négatif.


- Les runes sur le segment de gauche :
Image Gebo : interaction entre deux forces, point de rencontre entre deux énergies différentes.
Image Thurisaz : union des forces contraires en vue d'une confrontation.
Image Fehu : le feu incontrôlable, l'énergie primordiale à l'état brut.



- Les runes sur le segment de droite :[/size]
Image Kenaz : le contrôle, la puissance dominée, le feu domestiqué.

Image Laguz : la croissance, l'évolution, le changement.

Image Uruz : le réceptacle qui accomplit le processus créateur.



Expérimentations et observations :

Après diverses expériences effectuées par mes soins et sans utiliser des boutures de Némie, j'ai découvert que le glyphe fonctionnait sur d'autres supports, cela m'a permis de comprendre son utilité première, car il semble agir en deux phases, l'une qui me reste encore inconnue.

Le cercle central est le noyau qui emmagasine l’Éther collecté à l'état élémentaire, le triangle permet d'équilibrer la puissance, d'empêcher l'implosion, il sert à contrôler le flux incessant. Les runes, dont il est nanti, servent de catalyseur produisant un changement, modifiant l'éther. Le second cercle est justement celui où se produit cette évolution, donnant mouvement et forme à l'énergie. Le carré renvoie l’énergie dans la matière afin de l'alimenter et de poursuivre l’œuvre. Le dernier cercle entrave le tout, empêchant la magie de s'étioler et permettant à la structure de fonctionner en circuit clos.

Ainsi, la première utilité du glyphe permet au porteur, de garder la puissance sans cesse engrangée sans imploser, tout en modifiant les effets, lui rendant de la force le cas échéant, lui garantissant de l'énergie à tout moment.

Il est pourtant évident que son emploi va bien au delà, car lors de mes tests certains éléments sont restés passif, tandis que les autres prenaient « vie » lorsque les étapes menant à leur activation s'enclenchaient.
De ce fait la rune principale Hagalaz et les lettres n'ont point encore dévoilé leur aboutissement dans les projets de ceux ayant créés cet ouvrage.
Oliane
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Rapport VI : Théories, et prochaines pistes à suivre

Le cas des Occultistes : pourquoi n'avons-nous pas trois corps, qu'est-il arrivé à Béranger ?Pour le moment j'ai trois options : 

1) La croissance de la plante a été plus rapide chez lui (qui sait les Elézens ont-ils un meilleur potentiel énergétique que les Hyurs), ayant épuisée les ressources vitales de son hôte, elle a cherché un nouvel abri, il se peut que le crapaud géant fut ce réceptacle ? Il s'agit d'une possibilité, mais je crois que nous aurions au moins du découvrir des restes (des ossements, des vêtements, …), ou le corps ne fut pas placé au même endroit. (Ce qui pourrait concorder avec l'idée de faire naître une épidémie, en le mettant dans un autre lieu, cela augmente les chances.)

2) Il a assisté au triste sort de ses compagnons, mais à l'inverse d'eux, il a réussi à s'échapper et il se terre à présent quelques part, terrorisé.
=> Je doute de cette hypothèse, toutefois il sera toujours intéressant de vérifier à la guilde des occultistes afin de savoir s'ils ont des nouvelles (en gardant à l'esprit qu'ils pourraient très bien en avoir et ne pas nous les donner) et/ou allez voir ses proches.

3) Béranger est l'un des instigateurs, ou le seul. Cela l'avenir nous le dira. D'ailleurs il me faudra garder à l'esprit ce fameux professeur Vandenberg expert en savoir Belah'dien. Il peut aussi être de la partie. Si nous le trouvons au camp des Os desséchés il faudra rester sur nosgardes.
Peut-être allez déjà faire un tour dans Ul'dah, pour rencontrer des personnes le connaissant pour en apprendre plus sur lui.

Au sujet du glyphe, bien qu'il fut assez aisé de comprendre son utilité première, il reste beaucoup de questionnement quand à la manière dont elle apparaît ainsi que sur l'énigme des A, et de la dernière rune. 

La rune Hagalaz me paraît marquer l'importance des chiffres dans la compréhension de problème posée par les lettres. En effet, il est la personnification du chiffre sacré, la structure fondamentale. En partant de cette supposition qu'avons-nous : 

Le triangle à trois sommets, nous ramenant à la Trinité :[/size]
- Vie.
- Mort.
- Renaissance.

Les lettres :
A - AA -AAA – AAAA.
1 2 3 4
Si j'additionne ces quatre chiffres, j'obtiens un total de 10. 

La numérologie :
0 chiffre de la divinité, qui engendre la vie.
1 étant le chiffre de l'Esprit , le rejeton divin du 0.
2 symbolise le corps, union du masculin et du féminin.
3 chiffre de la transcendance, le catalyseur.
4 chiffre de la matière matrice, la matière en tant que contenant.  

J'avoue pour le moment n'avoir aucune idée sur comment intégrer cela dans l'équation. Ni être certaine d'être sur la bonne piste.

Quelques notions sur la civilisation Belad'hienne, sujet d'étude des occultistes et du Professeur Vandenberg.

Selon les théories, soit la fondation de Belad'hia serait le fait des survivants de Mhach (des mages noirs), soit de Lalafells. La ruine la mieux conservée de cette époque est le temple de Qarn, même si sa construction fut antérieur à celle de la cité. Il semble qu'Azeyma soit une déité assez importante au sein de cette culture. La chute du sultanat semble dû aux mésententes entre les deux fils du précédent dirigeant. Leur querelle scinda la population en deux clans, l'un fonda Sil'dih et l'autre Ul'dah. Le conflit aurait pu durer si Sil'dih n'avait utiliser d'une ténébreuse magie pour transformer les soldat trépassés en zombie Comme cela arrive souvent à ceux jouant avec des pouvoir les dépassant, ils perdirent le contrôle de leur armée de cadavres ambulants. Ul'dah en profita pour raser la cité. Ainsi nous pouvons profiter de nos jours, de belles ruines peuplées de zombies.  


=> Si j'ai rajouté ce minuscule résumé de l'histoire Belad'hienne c'est parce que je pense que tout est lié. J'ai l'intime conviction que le (s) individu (s) impliqué (s) ont pour but de reproduire l'animation des corps avec l'espoir de réussir là où leurs prédécesseurs ont échoués : ne pas perdre le contrôle de leurs marionnettes. La seconde rôle de la glyphe serait donc de réanimer un défunt et de le maintenir sous la domination de son créateur.
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